Le conquérant du graal
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De tous les occultistes devenus connus jusqu’à maintenant, Arnoldo Krumm-Heller
(1879–1949) est, après mon avis, le seul qui a parcouru les stations de vie les plus agitées et les plus ambitieuses : du travail d’enfants dans des galeries de mines allemandes jusqu’à médecin employé dans l'Amérique Latine. Pendant que Aleister Crowley
a dépensé tout l’argent de son père et de ses adhérents pour des tours de montagne, pour de l’alcool et de l’héroïne et a dépensé les dernières années de sa vie inactivement sur les coûts de ses peu de fidèles éparpillé dans pensions d’âge et des auberges, contrairement Krumm-Heller était extrêmement actif dans la Politique, Médicine, les sciences secrètes et comme écrivain et aventurier. Son influence dans les pays sud-américains est avant tout inégalement plus forte que celui de Crowley dans les pays Anglais et en Europe. Le renommé plus grand de Crowley se remercie jusqu’à l’invention de l’Internet seulement à la commercialisation inflationaire de son Tarot dans la scène ésotérique et de temps dans temps aux petits rapports avivés dans les médias.[1]
Dans son œuvre en langue allemande « Osmologische Heilkunde – Die Magie der Duftstoffe » [Enseignement de Guérison Osmologique – La Magie des Odeurs] Krumm dépose « sa profession de foi personnelle » : « Je descende du côté maternel d’une famille de curés et je suis resté fidèle à mon éducation chrétienne jusqu’au jour d’aujourd’hui. Le matérialisme, qui menace à saisir aujourd’hui tant de jeunes hommes, si le doute monte, ne pouvait rien nuire à moi. J’ai toujours été un animiste persuadé. Chez les peuples de Nature, envers qui je m’avais tourné dans les études de ma vie principalement, m’est devenu auqu’un connu, qui aurait purement matérialistique pensé ou croyez. Au contraire, tous se sont dans la croyance de l’âme, si aussi sur plusieurs marches, étés d’accord. Aussi comme médecin j’ai été, pour user un mot connu, vitaliste, une opinion, qui de la destination du mot de l’Animisme aussi est très apparenté. Je crois alors à l’immortalité de l’âme : sans cette croyance je n’aurais guère pu comprendre correctement les Peuples de la Nature. »[2] Krumm ne peut pas s’imaginer une vie sans monde spirituel; son gnosticisme provient de sa répulsion contre les forces mondiales. « Maintenant émerge la grande Putain Babylon, la mère de toute la prostitution et horreur de la terre, qui apporte damnation apportant de malheurs. Elle représente l’aspect physique : la politique, l’Impérialisme égoïste, le Bolchewisme, les écoles philosophiques ; tout cela, chez lequel nous perdons malheureusement du temps – ainsi comme nous la perdons chez une prostituée. »[3] Mais il ne reste pas tout aux yeux bleus : « Dans la gnose, commence à vivre une sorte de Fascisme, dans lequel elle prétende, de chaque individu de pouvoir faire un Mussolini, une personnalité consciente, roi ou sainte. »[4] Politiquement Krumm-Heller se voit plutôt comme Mexicain que comme Allemand : « Je suis Mexicain, citoyen du pays et j’ai toujours représenté mon point de vue comme tel. Quand j’allais autrefois au col à Guanajuato et je me trouvais devant mon exécution, l’envoyé Allemand protestait dans la capitale et me voulait prendre sou sa garde comme Allemand. Mais je devais quitter mon projet, parce que j’envoyais le télégramme suivant traduit mot à mot à Mexique : « Je proteste reconnaissant contre l’intervention de l’envoyé Allemand. Je suis Mexicain et je me soumette à toutes les suites, comme chaque autre Maderist. » »[5] Parce que Krumm se sent à peine comme Allemand, mais plutôt comme Allemand-Mexicain, il publie la plupart de ses livres en Espagnol.[6] Dans ces œuvres Krumm décramponne tout politique – au contraire que dans ses magasins d’Ordre, où il s’enthousiasme incontrôlé du Hitlerianismo. Mais vis-à-vis ses adhérents il le mentionne guèrement, parce qu’il se sentirait comme Mexicain, mais parle et écrit dans la majorité sur le Rosicrucianisme. Et c'est pourquoi que les groupes F.R.A se voient dans les pays politiquement secoués comme « manifesté apolitiquement »[7] et ont oublié jusqu’à aujourd’hui le caressement de Krumm pour les Nazis.[8] Après le tournant du 19ième siècle la vie de la médecine d’école matérialistiquement découvert la signification de l’hygiène et le rôle des microbes. Le nombre des Homéopathes vrais c'est-à-dire strictement travaillant après Samuel Hahnemann est réduit sur un petit nombre. Seulement dans deux pays l’Homéopathie classique s'est conservée passablement : dans l'Angleterre et en Amérique.[9] Mais exactement ces deux pays sont évités d’Arnoldo Krumm-Heller depuis ses aventures dans la Révolution Mexicaine. Qu’est-ce qu’a attiré Krumm-Heller comme banlieusard de culture infatigable aux pays d’évolution ? Les pays arabes avec leur Islam ont offert sûrement peut-être peu de terrain favorable pour le Rosicrucianisme chrétien de Krumm. Ils inspiraient plutôt le Thelema plus agressif de Crowley. Mexique est après le tournant de siècle comme Krumm lui-même dans une sorte de sentiment de départ, tout Amérique Latine se révolte contre la tutelle européenne et le désordre politique et commercial. Ainsi émerge le riche Krumm-Heller au point de temps juste comme divinité créatrice avec une médecine nouvelle de l’Est et enseigne aux opprimés aimants-Allemands la rédemption par Gnose et Homéopathie. On s'imagine: « Un médecin Allemand, qui parle espagnol, vient à l'Amérique et fonde des centres rosicruciens ! Dans un pays, qui est dominé de fanatisme et de la prépondérance de l‘Église romaine catholique ! »[10] « Peut-être vit [sic] KRUMM-HELLER (respectivement ses pensées) encore une fois au Sud. Il fuyait devant le Nord obscur ruminant, où un-homme voit rarement VRAIMENT le Soleil. Peut-être sont assis ISIS ET OSIRIS toujours encore aux balances. Dans lequel l’A.M.O.R.C. peut avoir du mal aux reins... Je sais, Arnoldo Krumm-HELLER vit encore au Sud. »[11] L’aspect physique de Krumm (toujours élégant et p.e. avec monocle), sa présentation morale et ses intérêts médicéens attirent des personnalités ressemblantes étendues. Ainsi se trouvent aussi aujourd’hui beaucoup d'académiciens (médecins, ingénieurs, architectes) dans les membres de la Fraternitas Rosicruciana Antiqua [F.R.A.] – une chose, que tous les groupes-O.T.O. atteignent seulement avec peine. Theodor Reuss p.e. essayait en vain de donner à l’O.T.O. un aspect haut et, surtout chez des gens d’argent dans des positions clefs, à apparaitre digne de confiance. Ainsi il cherchait toujours des personnalités représentatives, qui devraient fonctionner comme Maître de la Chaise respective d’une loge.[12] Crowley posait ses ambitions ressemblantes hautes et échouait. Ses statuts O.T.O. contiennent des phrases comme. « Les membres de l’ordre [O.T.O.] ont chacun en dehors à voir comme ils ne possèderaient [ces habitants de grottes] pas de droits. Amabilité devait être montrée, comme à chaque autre bête » (Liber CI, 28). « On a l'intention que la force mondiale de l’état est portée à la loi [de Thelema] » (Liber CI, 40). Déjà les VII° doivent donner leur possession à l’ordre, qui se divise les IX°. Des partenaires de noces sont à chercher dans l'ordre, chaque enfant est à voir comme membre, de relations de commerce est seulement à soigner avec des frères, des femmes enceintes doivent être tirées dans l’ordre, tous les services doivent être posées dans l’ordre, des procès entre des membres sont défendus, testamentarement tous les biens sont à hériter à l’ordre et dans tout : « Qui se fait des soucis, n’appartient pas à nous. » (Liber CI, 53).[13] [Nous allons rencontrer des déclarations anti-sociétaires et antidémocratiques dans l’article sur « The Templar's Reich ».]. HuiracochaÀ Qosqo, la ville coloniale sur les murs de l’Empire Inca au Pérou, Krumm trouve son motto Huiracocha et son mantram INTI.[14] Malgré, il se sente comme Mexicain et vraiment pourrait choisir un mot correspondant de la culture Maya, Krumm s’identifie avec l’être le plus haut des tribus de pays haut (Quechua et Aimara) de l’Empire Inca. Uiracocha est dans le même temps le masculin et féminin omniprésent créateur des mondes Inca – et parentés aux Quetzalcouatl mexicain. Ici se tende l’arc de Krumm au Mexique : Quetzalcouatl, la figure de la rédemption (ressemblant Thomas le Saint),[15] qui alias Madero et Carranza et d’autres, prend le chemin par le paysage de l’âme mexicaine et jusqu’à aujourd’hui (1995) (en forme de la bureaucratie d’état) comme partie de révolution, chaque élection politique (ils sont des présidents différents à la pointe avec le charisme du rédempteur), laisse vivre encore les traditions vieilles des ‘Indianes’. Peut-être Krumm-Heller a imputé à Quetzalcoalt un rôle politique et à soi-même une mission occulte, ce que pourrait caractériser son tournant du participant de révolution au producteur du Graal, à l’ « enfant du soleil... le Messias. »[16]Uiracocha ne se laisse pas lier à une apparition de nature déterminée. Mais trois contes de fées-Inca sont transmis, dans lesquelles Uiracocha joue un rôle. Dans tous les trois il ressemble au Jehova Chrétien, un dieu facilement irritable, qui fait les hommes après de son portrait, des prescriptions décrète et, quand ils ne sont pas suivis, envoie un déluge. Uiracocha montait le lac Titicaca, et les ruines à Tiahuanaco sont construites comme son habitation.[17] Ressemblant à Jesus Christus Uiracocha s’est promené sur le pays, habillé curieusement, pour accomplir des différents miracles.[18] Après quelques prophéties, il marchait sur la mer sans s’enfoncer (de là son nom : graisse ou écume de la mer, lac des vents).[19] Historiquement vus, les ‘Indianes’ ont reçu en transe assez souvent des missions personnelles de dieux-hommes. Le surgir d’un autre dieu-homme, comme Krumm-Heller, ne pose pas une particularité, particulièrement après les contes de fées ressemblaient aux prophètes chrétiens, qui mettent en garde des Uiracochas faux. Malgré que Baphomet aussi se trouve dans des rituels d’initiations-F.R.A.,[20] Arnoldo Krumm-Heller semble s’avoir tenu loin d’opérations magiques.[21] Si chez lui le rôle Messias quelques fois transparaît, il se tient fortement à un modèle chrétien-gnostique, dans lequel Jésus, comme rédempteur, se trouve au milieu. De celui le sauvetage est éprouvé, et l’homme seulement par des faits bons peut rencontrer ce but au milieu. Spermagnostiquement c'est l’homme lui-même rédempté, quand l’homme retient le sperme. Mais la servitude homéopathique gnostique à une divinité/ordre plus haute et la volonté d'apporter de l’ordre en l’humanité – excluent chaque divinisation de soi-même. Malgré des fragments de Thelema dans ses doctrines et rituels, Krumm-Heller pose plus de valeur sur l’aide sociale et l'engagement personnel dans des organisations que sur le tomber dans l’oubli de soi-même magique ou mystique. L’Homéopathie demande un pouvoir humain grand d’intuition, que tous les deux, médecin et patient doivent enrichir. Il n’est presque pas à spéculer que Krumm-Heller croit à des intelligences extraterrestres, comme ils se trouvent dans la vue du monde orientée transcendante de Crowley. Krumm-Heller se concentre sur le monde humain et pas sur des dimensions de la réalité transcendantales avec qui on doit prendre contact, s'ils sont formulés comme des êtres. Le rôle du Maître-Théosophes astral Racotzi de Krumm est ni la du Egregor ni la d’un esprit d’aide ; Racotzi est défini comme conducteur spirituel de plusieurs corporations. Mais de contact avec des anges d’au-delà se trouve seulement dans service d’aider et guérir. En dehors de ses activités médecines et révolutionnaires l’évitement de l’éjaculation de Krumm semble être été une action bonne pour la rédemption. La rédemption devenait peut-être nécessaire parce qu’il voyait par les guerres de révolution du Mexique que le monde matériel était un lieu gnostique de la putréfaction. Mais on ne sait pas si Krumm a placé le Sperme comme gnostique et/ou médecine universelle homéopathique/isopathique. Après la mort de Krumm-Heller, dans son organisation rosicrucienne se trouvent des guerres petites, ressemblantes ceux dans les groupes O.T.O. Mais dans la F.R.A. ils arrivent dans une forme affaiblie et seulement chez des protagonistes isolés. Krumm-Heller n’est guère plein de projection, et sa F.R.A. offre trop peu d’exclusivité pour attirer de vrais fanatiques. Dans l’espace allemand, après la Deuxième Guerre Mondiale on ne lui connaît guère sans entremise de Hermann J. Metzger. Le Rosicrucien de MexiqueComment explique Krumm-Heller, qui était grandi « entre les pyramides anciennes des milliers d’années mexicaines »[22] la liaison entre son Rose-Croix chrétien avec la culture ancienne Maya et Inca ? Pour cela, un extrait théosophique anthroposophique de son « roman occultiste » « Der Rosenkreuzer aus Mexiko » [Le Rosicrucien de Mexique] apparu en 1919 dans la « Krumm–Hellerschen Verlagsanstalt » [Maison d’Édition de Krumm-Heller] à Halle (Pages 27 ss.).[23]« Le Réformation, que desserrait la voile de croix de Golgatha, a son origine dans le pays de mes pères, dans l'Allemagne. La race allemande, la religion des Germains anciens ont porté l’esprit allemand à un développement particulier. Le culte du soleil des Mexicains anciens est plus âgé et dans sa valeur exotérique plus sublime que le chrétien. Un lien spirituel lie les deux à un système complet. Ainsi comme la vie Christique représente le problème de vie de chaque individu, les peuples de la terre doivent aussi vivre la marche de vie = et de la souffrance du Sauveur, du plus grand de tous les initiés. Ainsi comme il a vécu, crucifié, mort et encore est ressuscité, ainsi doit aussi le peuple allemand, après il a soi connu la douleur de la croix, le calice de la souffrance dans une guerre horrible, ressusciter à une fleur nouvelle, et alors sont les guerriers tombés pour leur patrie ici encore ressusciter dans cette partie du monde mexicaine pour donner le fond à une race nouvelle humaine. Mais on trouve dans une de la culture origine mexicaine une direction d’esprit très parenté des Égyptiens d’inscriptions étranges, qui parlent d’une telle renaissance d’hommes élitaires dans d’autres pays [...] Tous ce qui se passe dans le monde physique sont seulement une reproduction d’événements du monde astral à la plupart des hommes inaccessibles. Mexique se trouve avec Allemagne en interactions que nous pouvons maintenant seulement indiqué, mais qui l’avenir laissera clairement à connaître. » En plus, Krumm-Heller retrouve chez les Aztèques la Cabale juive, la Trinité chrétienne, le Tarot et l’atome. « Les Mexicains anciens croyaient comme les cabalistes à une substance universelle que parcourait, au moyen d’un fluide d’unités sûr de soi comme un esprit universel dans le soleil, le bienfaiteur qui transcende le centre de tout de l’univers. Énergiquement les vieux initiés des Mexicains connaissaient l’atome comme une révélation concrète d’énergie universelle, et l’univers, le Cosmos, comme une chaîne sans fin d’interactions et de différences de formes, qu’apparait dépendante seulement du groupement des atomes. » Krumm-Heller se réfère souvent à la Pierre des Aztèques,[24] de qu'il peut lire tous. Une pierre ressemblante décrit déjà Kerning (J.B. Krebs) et Franz Hartmann dans « Lichtstrahlen vom Orient: Manuskripte für Freimaurer » [Rayons de Lumière d’Orient : des Manuscrits pour Franc-Maçon] et tire symboliquement l’arc de la Franc-Maçonnerie.[25] Qu'est-ce que cela a à faire avec les Rose-Croix ? On vit « après l’Ordre du Cristian Rosenkreutz et ses compagnons, qui vivaient avant la publication de la Fama Fraternitatis »[26] et chacun suit « la voix de son sang et de sa race. » Aussi ici compte la « Macro-Microcosmos-Parallèle, l’accentuation de la Cosmologie, qui est comprise comme transformation de l’homme animal par divine Alchimie » – comme on croît dans le Rosicrucianisme et partiellement aussi dans l’Homéopathie.[27] |
Del mismo autor: Tratado Metódico de las Enfermedades Génito-urinarias de la Mujer. |
Carezza - coitus reservatusKrumm-Heller aspire à l’Androgynéité gnostique, et pour cela use la femme en refusant la masturbation et l’homosexualité.« Dans l’agitation sexuelle on se doit de tourner du bête, de l’ange de l’homme non dompté, vers Dieu. Nous devons au moment d’extase de l’amour nous réunir avec le féminin [...] Les mystères sont de la physiologie pure. Le père est la tête, le cerveau non créé. […] Au milieu est la fluidité, le sperme. »[28] Dans le 12ème chapitre de « Rosa-Cruz »[29] Krumm-Heller devient plus clair. Sexe/le sexe est un état biologique de l’homme, mais il ne sait pas d'abord qu’est-ce il doit commencer avec cela. Si au bien si au mal, donner à manger aux bêtes ou adorer Dieu, si à diminuer soi-même ou à s'augmenter, d’aller en avant ou en arrière.[30] Les impulsions sexuelles doivent être contrôlées ; parce qu'un homme qui serait asservi par des instincts bas, ne pourrait jamais exercer de l’influence ou même de contrôle sur d’autres hommes. La glande pinéale, qui serait « un vent à Brahma », doit être enveloppée, ce que pourrait être atteint seulement par le renoncement du coitus.[31] Malgré cela Krumm-Heller prévient de trop de renoncement, qui conduirait quelques fois aux maux de nerfs non guérissables. Ce dilemme est résolu gnostiquement : Le secret du livre Genesis est, selon Krumm-Heller, la perte de droit d’Éva (de la femme) sur le paradis par sa consommation de la pomme. Ceci exprime un aspect du Valentianisme, dont la doctrine est que l’homme pourrait arriver dans le royaume céleste seulement par le sexe pur. La chute de la Pistis Sophia[32] causait la division de l'androgyne originel dans deux: le premier père, pour quoi le sexe/ le sexe serait une expression. Par l’union pure des partenaires, au lieu du dévouement à des instincts bas, on trouve retour dans le paradis. Par les noces les partenaires peuvent se rendre dans l’extase de l’amour. Concernant l’acte sexuel lui-même, Krumm-Heller donne la clef suivante : le dévouement absolu pendant l’acte sexuel apporte à tous les deux partenaires la jouissance la plus haute, qui, quand en même temps vécu, sur la plan astrale devient une forme concrète. Cela Krumm-Heller appelle Magie sexuelle. Krumm tient ferme à la différence entre le sexe animal/bas et le sexe plus haut. Userait-on les organes de sexe pas assez souvent, ainsi ceux atrophieraient, et conduiraient à l’impuissance. C'est pour cela que le thème serait très délicat : soit on pratiquera l’acte sexuel ainsi comme le repas et sans participer les sentiments spirituels avec le partenaire, ou on pratiquera l’acte dans l’extase de l’amour avec un partenaire de vie, avec qui on serait ensemble pour le reste de la vie. Encore une fois, Krumm-Heller est prêt à des compromis. Parce qu’il ne serait pas possible à ressentir l’acte sexuel toujours et chaque fois sans volupté animale, on devrait mélanger alors de l’eau et de l’huile. C'est pourquoi que la prostitution soit à saluer. Un thème, à qui, il va consacrer tout un livre, à la prostituée « Hertha » (un peu plus à l’instant).[33] L’amour entre des amants serait une étincelle de l’amour grande universelle, qui vibre par tous. Si femme et homme se réunissent, l’homme devient Dieu et Créateur. Et s'il peut tenir chez soi la vibration de l’amour grande universelle, il devient au magicien nettoyant soi-même et reçoit tous dont il a besoin. S’il ne peut pas se retenir, la lumière va le quitter et retourner dans le courant universel, mais laisser ouverts une porte au mal et au mauvais. Krumm-Heller interprète le sperme comme moitié-liquide/moitié-dure, une fluidité qui contiendrait de la vie et de la force. Ce liquide astral est pour lui l’« intermédiaire », alors « Christus », de quoi est à conclure que force et essence du vrai intermédiaire seraient assises dans la moelle épinière et dans les parties sexuelles.[34] Ce liquide doit être gardé chez soi. Au lieu de l’orgasme, de la fin, marche l’acte sexuel comme tel dans le point de milieu l’excitation des impulsions nerveuses pendant l’acte dévoué. Malgré ça, il est nécessaire, de temps en temps à laisser aller le sperme pour prévenir des lésions nerveuses. Dans son « Curso de Magia Zodiacal » Krumm-Heller a l’opinion que l’homme soit positif sur le plan physique et négatif sur le plan mentale, tandis qu'il est le contraire chez la femme. Il constate que sur le plan mentale par l’acte sexuel la femme deviendrait positive et l’homme réceptive. Tous les deux seraient au fond hermaphrodite, alors donneur et preneur. Femme : Vagin – négative, poitrine – positif. Homme : Pénis – positif, bouche – négatif. Ces parties du corps, selon Krumm-Heller, doivent être excitées, pour pouvoir donner et prendre : pour pouvoir augmenter et accroître le courant qualitativement et quantitativement. Caresser et baiser la bouche ainsi la pénétration sont secourable, aussi longtemps que l’orgasme soit évité. Dans son introduction à la « Magia Superior », «El Libro de la Gnosis », Krumm-Heller énumère les ingrédients : « Les ovaires et les testicules, conducteurs des œufs et conducteurs de la semence, utérus et pénis (rebondi). » La tête de l’homme soit négative, ses organes sexuels au contraire positivent. Inversement comme chez la femme. Celle soit spirituellement un créateur, parce qu’elle soit pregnable. Aussi dans sa « Magia Rúnica » Krumm-Heller vient à parler de l’homme originel non divisé. Homme et femme ne peuvent pas rester séparés définitivement et à la longue. Dès que les deux sexes sont unis par l'acte sexuel, les forces énormes sont éveillées et des miracles non descriptibles se réalisent. Le Phallus soit l’énergie à dessin de la magie sexuelle, mais il se trouverait aussi un secret chez la femme, respective l’aigle avec la tête de femme. Celle soit le soleil féminin, le principe féminin des forces solaires, avec lesquelles on devrait à fréquenter. Finalement, le Rose-Croix aussi chez Krumm-Heller semble à signifier ce qu’il est pour tous les magiciens sexuels : « Le Tau, entouré par le symbole de la croix des roses, symbolise l’union de sujet et objet et représente ‘Yoni-Lingam’, »[35] avec quoi nous serait encore une fois chez Theodor Reuss. Krumm diffère entre « Coitus completus, » « Coitus interruptus, » « Coitus reservatus » et « Coitus sublimatus. » Seulement le dernier, « El Carezza » est pour lui le coitus vrai,[36] ce que le diffère de tous les Crowleyanes.[37] Pendant que Reuss en 1906 dans « Lingam–Yoni oder Die Mysterien des Geschlechts–Kultus » [Lingam-Yoni ou Les Mystères du Culte Sexuel][38] détaillé décrit le culte phallique hindou et comme O.T.O.- lecture obligatoire recommande (a pars d’autres) Richard Payne Knight « A Discoures on the Worship of Priapus » (1786/1865), Krumm-Heller 1931 dans « Iglesia Gnóstica » vise seulement courtement sur des cultes grecs et égyptiens, qui « adoraient le membre masculin dans état de l’excitation et lui donnent ainsi le nom ‘intermédiaire de la raison’. »[39] Dans « Magia Rúnica » Krumm-Heller vient à parler encore une fois de la Karezza, dont la méthode il eut apprise de Gérard Encausse/Papus.[40] Après un an d’abstinence celui aurait atteint par la volonté des triomphes dans sa vie. Karezza est encore un thème dans « Taumaturgia » de vraisemblablement 1948, un texte, que le Krumm-Heller alors 68 ans a écrit une année avant sa mort. Là-dedans le corps humain est décrit comme hermaphroditique, qui contiendrait des glandes et des hormones des deux sexes, ainsi des fluides électriques et magnétiques. Les différences homme/femme positives/donnantes et négatives/récipients ne sont pas absolues, parce qu’il y aurait des moments du changement. Karezza est présenté comme « amour conscient », comme méthode pour atteindre magique-magnétique force/pouvoir, qui le Thaumaturge aurait besoin pour ses guérisons miraculeuses. Un tel acte de la guérison (l’acte sexuel) a besoin naturellement des conditions particulières et des préparations pour atteindre le plan le plus sublime. Le but n’est pas l’orgasme (car la mise en place du sperme dans le vagin sert seulement pour la reproduction), les forces magnétiques de l’acte lui-même sont emmagasinées dans le corps. Female TroubleAinsi comme chez Aleister Crowley, pour lequel les femmes sont comme des bouteilles de lait à livrer à la porte d'arrière,[41] on trouve dans les écritures d’Arnoldo Krumm-Heller une misogynie claire. Krumm donne même des conseils pour la « formation intra-utérine » (« Education Intrauterina ») : « Une femme enceinte devrait entendre de musique bonne, lire de livres bons, et visiter souvent tous les lieux auxquels dominent des vibrations de la beauté, de bonté et d’harmonie, et elle va porter un fils bon, beau et équilibré au monde. »[42]Gnostique biologiquement Krumm-Heller établi son refus de la femme en 1931 dans « Plantas Sagradas » : « La différence principale est, que l’homme a des glandes, qui manquent à la femme. Ces différences ne peuvent pas être oubliées d’un médecin bon [...] La prostate contient la force de créer, tandis que les couches de graisse de la femme servent à la conservation et l’imitation. Cela est la cause pourquoi des femmes n’ont pas un accès à la magie, parce qu’elles manquent la glande-Prostate. »[43] La femme est alors dégradée en la maternité animale. Cela appartient à beaucoup d’occultistes aux alentours du phénomène-O.T.O. Pour toutes ces raisons, dans les organisations de Krumm une femme ne peut jamais prendre des fonctions gnostiques. En ceci il n’est pas seulement toute Romain-catholique,[44] mais agit aussi dans l'esprit des spermes-gnosticiens. La séparation des sexes est vraiment la dette de la chute de la Sophia (à la suite de son désir incontrôlé) de l’unité dans le Pleroma.[45] « La femme, le féminin éternel, arrête la marche de la masculinité. Mais une fois unie dans une androgynie parfaite, la femme peut par l’homme, auquel elle est liée, venir jusqu’à Dieu. »[46] Le Rosicrucien de Mexique a une vue toute particulière : « Je ne vais pas ici me laisser gouverner de femmes hystériques, qui invertirent tous d’en haut vers le bas et d’en bas vers le haut ! Mais cela ne me vient pas dans le sens ! Les femmes doivent être très qualifiées pour le ménage, aussi pour le travail facile de machines, comme nous avions vus dans la guerre. Mais conduisant on ne peut pas user une femme. Comme force d’aide peut-elle être assez bien, tant qu’elle sente une main fixe sur soi. »[47] La prostitué pauvre déjà mentionnée est endoctrinée dans le roman du même titre : « La mode, les vêtements, élégants, ostentatoires », Beermann objectait, « sont coupables à beaucoup. » Hertha répondait : « Oui », « le luxe est l’auteur le plus grand à l’immoralité. » Beermann, qui peut-être pensait aux vitrines grandes, continuait à parler. « Regardez donc les employés des grands magasins et des bureaux à Berlin et à d’autres grandes villes comme elles sont exploitées des possesseurs par l’achat de contenu modeste, mais pour cela à leur habilement sont posés des exigences grandes.[48] Tous les jours, on voit ces êtres dans des bas de soie et des chapeaux les plus modernes et des robes élégantes, dont la valeur seule dépasse seulement trois fois le continu d’un mois. Mais d’où doit venir l’argent pour ça, Hertha ? Je comprends, que chez des gens riches fortunés le luxe est autorisé, car il correspond à un sentiment d’art certain, mais ceux qui n’ont pas des moyens plus grands, doivent s'en renoncer. Des différences doivent être dans la vie, cela est dans la nature des choses. Car par la méthode immorale l’argent est plus facile à gagner comme par le travail, ainsi on voit, comme les puelles tombent. Le chef ferme souvent un œil, s’il remarque une telle chose, il est pour cela encore en se taisant. Le luxe est un des plus grands dangers pour la construction d’une vie de noces solide. Comme quelque homme moralement bien prédisposé aspire à une habitation et une camarade pour la vie, mais il est de jour en jour plus difficile de trouver une femme bonne, car la peur, de conduire une poupée superficielle à la maison, fait horreur à un homme correct. Croyez-vous Hertha, je ne m’aurais pas marié, si j’aurais trouvé une occasion à cela. Alors, partiellement notre petite Hertha m’a beaucoup remplacée. Mais je ne trouvais nulle part une femme à laquelle je pouvais croire. » « Là vous-êtes surement mal à parler sur les femmes » Hertha demande en plaisantant. « Il peut être comme ça, » répondait Beermann, « que les environs, dans lesquelles j’avais vécu, m’ont porté à de telles pensées sur les femmes dans tout : Le fait est, que le sens pour la chasteté nous est allé toujours plus perdue. J’ai désiré ardemment toujours une habitation, Hertha, dans laquelle ma femme serait devenue un complément de moi-même et moi je pourrais diviser mes pensées et mes sentiments harmoniquement avec elle, mais jamais je l’ai trouvée et doit maintenant pour toujours renoncer sur le bonheur des noces. » « Oui, j’étais aussi pour les noces, » disait Hertha, « et j’aurais vraiment pu conduire une vie de noces heureuse, si le destin n’aurait pas arraché mon homme bientôt après le mariage. José était un des hommes les plus idéales, qu’on peut s'imaginer, et avait du sens pour la vie de famille idyllique. Mais, comme je racontais déjà hier, il mourut pour sa patrie et me laissait seule. » « Qu’est-ce que vous croyez, Hertha. » Demandait Beermann réfléchissant, « si on pourrait conseiller aux puelles, à se sauver par les noces ? » Et quand il continuait à parler avec soi-même, il faisait un geste de main de défense. Ensuite il sautait excité dans là-haut : « Non, des puelles n'ont pas le droit de se marier ! »[49] Et comment va « Alfredo » dans le roman nommé après lui ? : « Pour se sauver de l’Onanie, il s’était donné à une puelle, le plus faux qu’il pouvait faire. Pas assez on peut justement mettre en garde les jeunes gens devant cela [...] Qu’est-ce que concerne cet empoisonnement, ainsi il est un fait curieux, que les dégagements des pensées d’un homme aient un grand pouvoir sur un autre homme déterminé. »[50] « La prostitution finirait avec un coup, si tous les hommes clairvoyants pouvaient constater le dommage, lequel une puelle fait à un homme, qui se donne à elle. »[51] Ces gnostiques ne secouent pas à cette taxation tradée de la femme avec grande signification, qui est décrite à l’aspect féminin dans la mythologie gnostique (Sophia, Barbelos – dans Thelema de Crowley : les rôles adorables Nuit, Babalon, la putain rouge écarlate). La femme doit être incarnée comme homme pour atteindre la rédemption gnostique.[52] – La nomination de la femme Ana Delia Gonzáles au Venezuela par le fils Parsifal de Krumm-Heller, reste ainsi incompréhensible à la plupart des adhérents. Annemarie Äschbach dans la Suisse-F.R.A./O.T.O. rencontre la même méfiance. Pour le gnosticien Arnoldo Krumm-Heller l’homme est hermaphroditique : physiquement, électriquement et magnétiquement.[53] Il diffère entre « donneur » et « récepteur ». Peut-être similaire comme Theodor Reuss ou l’Église Romain-Catholique. Krumm voit les noces chrétiennes comme une sanction pour l'acte sexuel,[54] qui par cela devient un acte saint, offert sur l’autel de Venus. L'orgasme masculin n’est pas une consommation pure de la jouissance, le placement du pénis dans le vagin doit seulement suivre pour la procréation.[55] Parce que Krumm-Heller choisit la « Pistis Sophia » comme son Livre Saint, on peut déduire de cela aussi sa position envers le XI° : Des homosexuels sont vraiment tourmentés de 49 démons et torturés dans les mers terrains bouillantes, croqués, déliés et anéantis.[56]
Pas tous les branches-F.R.A. ne sont d’accord avec Krumm-Heller. Il y a ceux, qui voient positivement Thelema de Crowley, malgré cette doctrine se montre aussi ennemie de femmes.[57] Le médecin espagnol Manuel Lamparter (chef d'un groupe F.R.A. en Espagne) : « Je crois que la femme était créée aussi complète que l’homme. Je pense que les femmes doivent avoir un accès égal à la perfection comme les hommes. Concernant du sperme comme véhicule du Logos: Oui, des femmes ne produisent pas de sperme, mais des œufs, qui sont des cellules capables de germer, et s'il n'y a pas une grossesse, jusqu’au temps de la menstruation, l’œuf se nid dans l’utérus, jusqu'au temps de la menstruation. Pendant la menstruation, les femmes peuvent absorber des spermes (XI° ?) par le mur de l’utérus et le mur rectal, donc le code génétique peut-être pourrait arriver dans l’ovarium via le sang, où il reste jusqu’aux fins de la vie. Précisément de la même manière et mode le Virus AIDS / SIDA arrive pendant l’acte sexuel dans le sang (par la bouche c'est un peu plus difficile). J’ai consacré 6 femmes à l’évêque gnostique; avant cela, tous ont reçu le Logos (Sperme) par un acte-XI° d'un évêque gnostique — tous pendant leurs menstruations. Concernant la prostate masculine et de cela que Krumm-Heller a écrit [voire dans haut] : L’utérus est le même organe comme la prostate. L’utérus est la transformation féminine de la prostate et tous les deux ont la même fonction magique : de prendre le Logos. Le sperme est produit des testicules et dans la prostate conservée avant l’éjaculation (pour procréer un enfant naturel ou magique). Les idées de Krumm-Heller sont d’après mon opinion démodée. »[58] La Messe Gnostique de Lamparter a lieu à chaque « troisième jour de menstruation féminine », alors quand vin (sang) et pain (sperme) sont magiquement transsubstantiés.[59] La majorité des membres-F.R.A. qui connaît Lamparter, ne sont pas des Thelemites et ont seulement une idée vague de Crowley et de sa magie sexuelle, parce que dans la F.R.A. la magie sexuelle est exercée sans éjaculation. En plus, Krumm-Heller adoptait une attitude négative envers les emplois favorisés de Crowley « alcool, tabac, drogues ».[60] Ce que Krumm et ses adhérents sûrement aussi dérange, est l'inclination de Crowley d'inclure des démons dans les adjurations magiques : Pour Krumm-Heller c'est la magie noire, qu’on doit combattre.[61] Tandis que chez les organisations libertinistes la femme émerge comme une Barbie-poupée (Barbelos ?) masquée comme Vampire toujours prête, chez les groupes-F.R.A.-ascétiques alors la bête-mère se prépare à la maison au fourneau pour l’œuvre grand. Le SI-12 du Samael Aun WeorLa Magie sexuelle du Mouvement Gnostique de Samael Aun Weor (= Victor Manuel Gomez Rodriguez, 1917–1977) consiste, comme chez beaucoup de groupes-F.R.A., sur l'évitement de l'éjaculation.[62] Weor parle dans plus de 45 livres des cultes solaires phalliques est des mystères sexuels et se détourne des « horreurs : guerres, prostitution, sodomie partout dans le monde, dénaturalisation sexuelle, des drogues, alcool, »[63] de « l’acte sexuel, adultère, prostitution, homosexualité, pédérastie, masturbation »[64] etc.Parce que quelques groupes du Mouvement Gnostique usent les rituels d’initiation-F.R.A. de Krumm-Heller,[65] ici sa Gnoses est présentée. Comme chez beaucoup de magiciens sexuels on trouve dans le Temple de Weor la Sagesse dans le phallus et dans l'utérus. Le Chaos (biblique) se conforme avec le sperme. Tous dans l’univers est sexualisé et s'attire ou repousse par des raisons sexuelles. Au centre de la Terre où le phallus noir de Shiva pénètre le vagin assis de Satan (sexe pur). Rédemption et Illumination sont seulement possibles par magie sexuelles, la magie de l'Âge du Verseau. Dans les liquides sexuels (sperme et sécrétions vaginales) se trouvent un Hydrogène sexuel, nommé SI-12, qui dans le corps devient astral et de l’or. Et la technique ? Adossé à la méthode-Carezza de Thomas Lake Harris (1823-1906), homme et femme se couchent poitrine à poitrine, plexus solaire à plexus solaire, l’un contre l’autre – de dehors androgyne. L’homme commence la pénétration tellement doucement, que l’hymen reste vierge. Des années de pratique forcent maintenant le Kundalini haut le long de la colonne vertébrale, jusqu’à ce que les deux partenaires se séparent également de leurs personnalités terrestres. Aussi dans le système de Weor, les femmes ne sont pas capables de l’initiation la plus haute et de chaque développement gnostique. Comme dans le Bouddhisme et chez la plupart des gnostiques, la femme peut se développer seulement en réincarnation comme homme.[66] Weor lui-même voit sa « Supra-Sexualité » comme continuation des techniques de « Brown, Dr. Krumm-Heller and Jung. »[67] Les groupes de Weor tombent en pièces après sa mort. Le répertoire gnostique des « cercles magiques », « des drogues » à refuser, de la « sexologie (sous- et super-sexualité et sexualité normale) » « Lucifer, diable et Satan » est enrichi chez quelques groupes par une boisson spécifique, qui doit contenir des larves agressives qui attaquent l'égo/le moi.[68] Notes de Fin
[1] Dans l'essai sur la
« McDonaldisation of Occultur » [McDonaldisation de l’Occulture]
nous rencontrons le Ngram Viewer de Google qui montre qu’il est avant tout la
biographie de John Symond sur Crowley, « The Great Beast 666 » de
1951 (Londres), qui a porté le nom de Crowley dans le Mainstream.
http://ngrams.googlelabs.com. Pour l'expression "Arnoldo
Krumm-Heller" le Ngram Viewer ne vise pas de graphique en Novembre
2010. Il est à accentuer que Google exploite principalement des livres anglais.
[2] Page 97. [3] « Iglesia Gnóstica » (1931), Buenos Aires 2. /3. Édition 1980/85, 22, traduit. [4] Là aussi 23, traduit. [5] « Für Freiheit und Recht » [Pour Liberté et Droit], Halle an der Saale 1918, 7. [6] Conversations avec Duval Ernâni de Paula, 28.5.1994. [7] Page d’enveloppe du derrière de : « Gnose », XIV;6, Rio de Janeiro 1983. [8] Duval Ernâni de Paula raconte que les lettres Krumm-Heller, pendant la Guerre Deuxième Mondiale, arrivées au Brésil auraient contenus beaucoup de références Nazi, mais cela aurait été seulement une manœuvre de détournement pour ne pas atterrir au Camp de Concentration. Entrevue dans ces correspondances je ne reçois pas. Conversation à Rio de Janeiro le 28. 5.1994. [9] Adolf Voegeli : « Heilkunst in neuer Sicht » [Art de Guérir en Vue Nouvelle], Ulm sur Donau 1955, 121. [10] Gábriel Sánchez Gaviria, lettre du 19.4.1991. [11] Thomas M.M. Munninger, lettre du 31.7.1994. [12] Voir les événements sur le Monte Verità et à Zurich dans mon article « Veritas Mystica Maxima. » [13] Des traductions après Hermann Joseph Metzger « Äquinox » VII, Zuerich 1957. [14] « Revista Rosa-Cruz », 233. [15] Christoph Mühlemann ; « Mythos Mexiko » ; » Neue Zürcher Zeitung, 224, 26.9.1992, 65, et Krumm-Heller lui-même, voir la note de pied prochaine. [16] Krumm-Heller : « Recuerdos de mi Peregrinacion », dans « Revista Rosa-Cruz », 234. [17] Krumm-Heller voit dans les signes secrètes une liaison « entre les Chibchos dans Columbia, les Mapuches dans Patagonia et [ ?] les Catalanes à Barcelona, » « Revista Rosa-Cruz », 1930, 304. Aussi Erich Von Däniken spécule richement sur ces signes. [18] Le 28. Mai 1994 je visitais Dottore Ernâni de Paula (1907–2005) dans son habitation privée dans le cercle de ville Tijuca à Rio de Janeiro. De Paula a connu Krumm-Heller personnellement. Je lui demandais pour quatre anecdotes. a) Quand Krumm, qui était extrêmement pensant sur son apparition, pour la première fois (1931 ?) vient à Rio, justement toutes les institutions sanitaires de la ville sont portées sur l’état le plus nouveau, ce que signifie qu’il n’y a pas de l’eau pour se laver. Krumm se couche tranquillement dans le lit, maintenant avec la sureté, que, s’il se réveillait, l’eau serait encore une fois-là. Un nain le réveille du sommeil : « L’eau coule encore ! » Et vraiment la cuve est déjà pleine. b) Quand Krumm arrive pour la première fois à Rio, il parle déjà au port avec un couple, dont la fille se trouve dans une clinique pour des malades d’esprit. Avec Manuel Joaquim Soares de Oliveira/Thurizar (6.10.1899–9.7.1946) le jour prochain il va dans cette clinique. Il pose la main sur le front du prétendu malade d’esprit et courtement après elle guérit et peut retourner à ses parents. c) Au temps où Krumm est là, dans les loges de la F.R.A.-brésilienne il y a deux médecins des membres, qui voulaient aider à une femme couchante en Coma, avec un don Homéopathique d’Opium. Mais Krumm reconnait avec un regard que cette femme souffrirait de Syphilis et peut recommander ainsi le don vrai et elle cure. Cela conduit à une discussion chaude entre les médecins et Krumm, qui a lieu derrière des portes fermées. Mais parce que Krumm n’est pas si bien habile dans la langue portugaise, on a besoin d’un traducteur. Quand ce traducteur se tourne vers Krumm pour traduire le procès-verbal, Krumm est disparu. Mais la porte est toujours encore fermée, la seule clef est dans la poche des autres médecins. Quand on ouvre, Krumm est debout dehors. d) Krumm veut s’embarquer retour dans l'Allemagne. Pour cela il conçoit complètement spontanément un jour avant son départ souhaité. Oliveira doit réserver les places. Mais l'agence de voyages déplore que le bateau soit complètement plein. Oliveira téléphone à Krumm, mais celui à l’opinion seulement ; « Apporte moi malgré cela au port, je vais aller sur ce bateau vers Allemagne ! » Et quand on demande aux fins le Capitaine, une place devient libre. Quand Oliveira se congédie de Krumm dans la cabine, celui-ci lui pose la main sur le front et le consacre Évêque. [19] Walter Kricheberg : « Märchen der Azteken und Inka » [Contes de fée des Aztèques et Inka], Munich 1968. [20] Une indication sur une dépendance possible de la F.R.A. de l’O.T.O. ? La notion Viracocha se trouve aussi dans le Reuss VII°-O.T.O.-rituel. [21] Alors même qu’il annonce dans « Rosa-Cruz » 11 du 27.12.1935 (Berlin) sur page 88 que « J’ai les courses secrètes de la Magie Sainte du Abra Melin. » [22] Krumm-Heller, Osmologische Heilkunde, 59. [23] La traduction espagnole de ce roman, « Rosa Cruz », apparait à Barcelone. [24] Voir livre de P.R. König: « Ein Leben für die Rose » [Une Vie pour la Rose], München 1995. [25] Facsimile, Stuttgart 1984. [26] « Rosa-Cruz » X; 10, Texas 1937, 77. [27] « Handbuch Religiöse Gemeinschaften », 2. Édition Gütersloh 1979, 538. Ce livre donne des interprétations de A.M.O.R.C., Lectorium Rosicrucianum et d’autres organisations Rose-Croix sur les pages 534-557. [28] Krumm-Heller : « La Iglesia Gnóstica », Berlin 1931, 38,40. [29] Editorial Kier dans Buenos Aires, 1984. [30] À partir de la page 136. [31] « Nous n’adultons pas, » page 137. [32] Dans les vues courantes du monde des gnosticiens, la Sophia, Sagesse, points des connotations différentes. Une foi elle est Principe d’Origine Féminine, Mère du Créateur du Monde, alors du Démiurge, alors encore, à côté de Dieu, la Mère du Fils de Dieu, bientôt elle est un être du milieu. [33] « Hertha », Halle 1918. [34] Krumm-Heller, Iglesia Gnóstica, 60 suivants. [35] Krumm-Heller : « Taumaturgia », in « Las Enseñanzas de L’Antigua Fraternidad Rosa-Cruz », édité de Manuel Lamparter, Malaga 1987, 348. Le texte a vraisemblablement été créé 1948. [36] Taumaturgia, dans Enseñanzas, 369. [37] La technique de Crowley d’Eroto Comatose finit enfin aussi avec un orgasme (Commentaire à Liber Agape). [38] Berlin 1906, réimpression Munich 1983. [39] Berlin 1931,3. Édition Buenos Aires 1985, 37, 39. [40] La notion Karezza (ital. « carezza » = « caresse, cajoler ») est imprégnée par la médecine Américaine Alice Bunker Stockham, qui en 1896 publie un petit livre avec le titre « Karezza, Ethics of Marriage ». Là-dedans elle décrit une forme du coitus, chez où l’homme renonce l’effusion des spermes, aussi nommé coitus reservatus. Alors même que le pénis est introduit dans le vagin de la femme, il y reste un temps très long immobile ou seulement très doucement mouvant. Par Karezza un sentiment de la jouissance très intensive et aussi un sentiment de l’affinité des partenaires sexuelles peuvent être provoqués. Voir aussi http://de.wikipedia.org/wiki/Karezza. [41] Il n’est pas ici la place pour une analyse détaillée. Un example est John Symonds; « The Great Beast 666 », London 1997. Ici seulement une paire de phrases de ses « Confessions »: « A man who is strong enough to use women as slaves and playthings is all right, » « Woman is a creature of habit, that is, of solified impulses. She has no individuality, » « Monogamy is only a mistake because it leaves the excess women unsatisfied. » De son Liber Aleph: « Tell not the Truth to any Woman. For this is that which is written: Cast not thy Pearls before Swine, lest they turn again and rend thee. Behold, in the Nature of Woman is no Truth, nor Apprehension of Truth, nor Possibility of Truth, only, if thou entrust this Jewel unto them, they forthwith use it to thy Loss and Destruction. » beyondweird.net/crowley/liber/aleph/tbwf3.html. [42] Éditer encore dans : « Gnosis », 5, Qosqo/Pérou 1991, 8. [43] 7ème édition, Buenos Aires, 72. [44] Voir déjà Aurelius Augustinus : « De civitate Dei ». [45] Voir l’essai sur la Gnose-Sperme. [46] Krumm-Heller, Iglesia Gnostica, 71. [47] Arnoldo Krumm-Heller : « Der Rosenkreuzer aus Mexiko » [Le Rosicrucien de Mexique ], Halle 1919, 225. [48] Logique de Classe se joint aux sexismes. [49] « Hertha », Halle 1918,208. La femme idéale morale de Krumm se diffère alors de 100% de cella là que fantasme Crowley dans Liber AL. [50] « Alfredo », Halle1918, 148. [51] Krumm-Heller ; « Konzentration und Wille! Ihre Schulung auf Grundlage der Logos=Lehre von Peryt Shu» [Concentration et Volonté ! Votre Éducation basée sur la doctrine du Logos de Shu], Halle 1919, 2. [52] Là aussi. [53] Un rassemblement de l’histoire de la littérature vient entre autres de Friedrich Carl Forberg : « Antonio Panormita Hermaphroditus » (Berlin 1908/Hanau 1986). Dans « Iglesia Gnostica » de Krumm (71) on doit, avec l’aide de « acto sexual », de tendre à un « androginismo perfecto ». [54] Pour Reuss la noce est un sacrement, voir aussi sont « Parsifal et le secret dévoilé du gral ». [55] Taumaturgia, dans : Enseñanzas, 366, Plantas Sagradas, 74. Ici alors le contraire à la Gnose Ascétique de Reuss. [56] Carl Schmidt, 251. [57] Aussi pour le Libertiniste Crowley, la femme serve seulement comme cuve de réception du Logos et comme médium pour des anges et démons – son système reste solaire-phallique. Le supplément de sang menstruel dans les hosties est manichéen à interpréter, parce que Crowley guèrement suit à l’opinion du sang menstruel comme sang Christi pour un repas spirituel. Voir aussi Liber Agape de Crowley et Reuss dans lequel la femme est clairement vide de la Divinité. Chez Crowley, sangs, si de l’homme ou de la femme, n’a pas de signification magique et gnostique seule. Dans la F.R.A. la femme avant tous, semble avoir seulement de signification médiumiste. [58] Manuel Lamparter, lettre du 24.5.1992, traduit. [59] Lettre du 4.2.1991. [60] Enseñanzas, 100. Mais Crowley aime à nommer ses trois rois [Kings] Smoking, Drinking and Fucking. [61] Taumaturgia, dans Enseñanzas, 363. [62] Samael Aun Weor: « Buddha’s Necklace », sans lieu 1966/67/90, 23. [63] Weor : « Psychologie der Selbstverwirklichung » [Psychologie de la Réalisation du Soi], Varese 1985, 30. [64] Weor, Buddha's Necklace, 30. [65] Dans le système de Weor Thelema n'apparaît pas du tout. [66] Weor, Buddha’s Necklace : 1, 7, 13, 17, 23, 25, 29, 30, 35, 48, 95. Sur la notion nassenique et valentinienne, que seulement des hommes peuvent entrer dans le royaume céleste, voir aussi, entre autres, Kurt Rudolph : « Die Gnosis », 2ème édition Leipzig 1980, 292. [67] Feuille d’Introduction « The Human Machine », Londre sans date, 11. [68] Des courses publiques du Mouvement Gnostique dans le Volkshaus [la Maison du Peuple] Zurich du 10.10.-28.11.1986. Présents sont presque 20 participants. On a démontré des exercices magiques (entre autres le rituel-Pentagramme). © Peter-R. Koenig, 2011. Traduit par Johannes Maikowski et corrigé par Fr. A.T.A.11 en Mai 2015. English: Conqueror of the Grail — Arnoldo Krumm–Heller. En français: Le conquérant du graal — Arnoldo Krumm-Heller. Tradução portuguesa: O Conquistador do Graal. По русски: Завоеватель Грааля — Арнольдо Крумм-Хеллер. Il s'agit d'un aperçu raccourci et traduit d'un sous-chapitre de Der O.T.O.-Phänomen RELOAD. Ernst Tristan Kurtzahn: The Gnostics. — Ecclesia Gnostica Catholica, Androgyn + Gynandria, E.C.H. Peithmann, Peryt Shou, et l' immissio membri virilis in vaginam et l'ejaculatio seminis. Fraternitas Rosicruciana Antiqua
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