Johannes Maikowski | |
Johannes Maikowski est né le 30-1-1925.
Voilà quelques informations importantes de ses souvenirs autobiographiques qui se trouvent en dehors du contexte de sa carrière ésotérique, racontées et traduites par lui-même.
Deutsch: Johannes Maikowski: Kurzbiographie
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Une choix des peintures et des collages de Maikowski.
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Le commencement de la guerre
J'ai vu Gustav Gründgens dans ‘Faust' en 1939 et après au théâtre à côté du «Marché des Gendarmes» [Gendarmenmarkt] à Berlin. À ce temps j’avais encore l’âge de 14 ans. Ma famille noble me voulait cultiver parfaitement. Et cette impression est restée avec moi pour toute ma vie.
Au commencement de la guerre 1939 j’avais 14 ans et je suis allé à l’école à Berlin et plus tard à Rossleben où mon talent de peintre d’art a été favorisé. Dans une famille d’antifascistes et de nobles même si nous n’avons pas portés les titres de noblesse. Toutefois, toute ma famille a été élevée au 16e siècle dans l’état héritier du Comtes de M.
Les bombes tombaient quand mon père Alfons et moi au lieu d’aller dans l’abri souterrain, nous étaient assis en haut sur notre balcon dans la 3ème étage Kurfürstendamm 213, de la maison de mon père, et regardaient le spectacle, de la défense antiairienne, et des bombes tombantes. Au matin le balcon était plein des éclats d’obus, mais nous n’étaient pas blessés.
Et alors une fois pendant une attaque airienne des américains je devais porter de la munition aux canons placés sur le toit du Zoo-abri [Zoo-Bunker], qui tiraient, autants qu’ils pouvaient. Une pluie d’éclats d’obus: «N’ai jamais peur!» m’avait dit mon père, «parce que la peur détruit la conscience.»
Mon père savait que l’Allemagne nazi devait perdre la guerre. À cause de ça il était en Pologne pour y sauver son oncle et sa famille devant les nazis et les amener en Allemagne, où cet oncle comme Polonais national alors a travaillé dans une fabrique de munition. Et comment
vous pouvez vous cela imaginer! Et dans mon école à Berlin presque tous les jours des camerades de ma classe étaient arrêtés parce qu’ils étaient des juifs ou des démi-juifs, ils devraient quitter l’école, aussi mon meilleur ami.
Avec 18 ans on m’avait ausculté pour me faire soldat. Mais on avait constaté que j’avais une souffrance de la hanche et
que je ne pourrais pas devenir soldat. Mais alors c’était une homme fanatique, un nazi SS, qui était venu dans notre famille par un mariage, qui était un professeur de médecine. Il m'avait dit, «Si tu ne te déclare pas
volontairement comme soldat je te laisserais envoyer dans le KZ.»
L’école monastique de Rossleben était une école privée d’internat, dans laquelle on a acceuilli seulement des nobles. Cette école était changée 1943 par l’état nazi dans une école – SS.
Et tous des nobles ont toute de suite quittés l’école, et moi aussi, mais moi avec l’appréciation: «impropre à
l’éducation collective-nazionalsozialiste». [Ungeeignet für nationalsozialistische Gemeinschaftserziehung.]
Alors je me suis déclaré «volontaire» à la Wehrmacht, à l’armée allemande. Mais les médecins voulaient que je devais prouver cela si je serais vraiment en bonne santè. Et comme j’avais raconté que j’avais bricolé comme enfant des modèles d’avions on m’a envoyé dans une école d’aviation à voile. Jamais auparavant j’étais volé avec un avion à voile. Cette école se trouvait à 100 kilomètres au nord de Berlin.
Là je me suis tellement éprouvé que j’ai fait en trois mois tous les examens des classes de l’aviation à voile A, B, et C. Car on avait trouvait que j’ètais trés doué à ce vol à voile. Ces examens finissaient avec un saut de parachute d’une Junker 52 d’une hauteur de 1000 mètres. Je suis sauté et je suis bien arrivé à terre.
Avec cela j’avais terminé l’école de l’avitation à voile. Je retournais à Berlin.
Et le professeur nazi était très faché parce que je n'étais pas encore mort parce qu'il avait espéré qu’on
m’envoyerait tout de suite comme soldat de l’armée allemande «deutsche Wehrmacht» au front de l’Est.
J’avait été formé comme peintre d’art alors à l’école privés des nobles à Rossleben sur Unstrut jusqu’à 1944 jusque ma
convocation à l’armée allemande de l’aviation. Naturellement je n’était pas formé à Rossleben seulement dans l’art de la peinture et dans l’art de la sculpture mais aussi dans la Photographie et cela avec une caméra vieille avec des plaques de Zeiss naturellement montée sur un trépied etc. mais déjà avec un obturateur-Compur. Dans cet temps la quelque chose de nouveau.
Voyage avec le train de Muehlhouse [Mühlhausen]
jusque Romorantin dans le paysage de la Sologne qui me rappelait beaucoup à la Mark Brandenbourg, mon pays natal.
Tracasserie dans la formation première pour faire de moi un soldat de l’armée de l’air. Sur le champ de tir je devrais
tirer sur un coeur humain. Mais je n’ai pas tiré sur de la cible. Et j’ai été puni avec une tracasserie d’exercice d’armes jusque je suis tombé évanoui par terre.
Comme je ne touchais jamais la cible j’ai été punit par des tracasseries d’exercices jusque je me suis évanoui par
faiblesse. Et alors on m’a porté avec un brancard dans la station des malades!
Quand j’étais très malade encore une fois à
cette station ma compagnie devrait jurer sur «Peuple, Führer et Patrie» [Volk, Führer und Vaterland] etc. Et moi je voyai par la fenêtre de la station des malades mes camerades jurants. Comme ça je n’ai jamais juré chez les allemands le serment du drapeau. Officiellement cela devait d’être récupéré plustard. Mais cela n’est jamais arrivé. Et après presque deux mois de tracasserie terrible par des instructeurs perverses .... Des auscultations médicales avaient comme résultat que je ne pouvais pas devenir un pilote d’une avion de combat parce que j’avais une faiblesse rouge-verte de mes yeux. Mais à cause des certificats
de vol à voile je pouvais très bien devenir un pilot d’avion à voile pour des poids lourds. Comme ça j’ai été instruit: atterrir derrière les lignes de combat de l’adversaire, la charge décharger, si auparavant on n’était pas encore abbatu, après se frayer à pied un passage par les lignes de l’adversaire jusqu’au front de soi-même.
Le départ à pieds contre les américains arrivés avec leurs bâteaux d’atterrissage aux côtes de la Normandie après le 20 juillet.
Et j’ai reçu l’information de l’exécution de
mon frère, du médecin militaire A. Maikowski à cause de la déstruction de la force de l’armée allemande [Wehrkraftzersetzung].
Mon armement en route: un fusil français avec de munition allemande qui ne s'accordait pas à ce fusil. Des souliers nouvaux qui ne s'accordaient pas à mes pieds. Des pieds en sang! On m’avait dit: «Si quelqu’un tombe mort alors vous pouvez prendre son arme! Comme ça vous aussi pouvez tirer.»
Et alors un jour plutard l’essai de la police allemande, de me faire prisonnier, et ma fuite en marchant toute la nuit par les fôrets jusqu’aux partisans. Et je suis devenu Partisan chez les Forces Françaises d’Intérieur (F.F.I.) jusqu’au jour en novembre 1944 quand un américain me voyait avec ma fiancée Yvonne, la soeur de notre chef de partisans, et l’Américain montrait sur moi et disait: «C’est un espion allemand!» L’officier américain qui voulait avoir Yvonne et la aussi a obtenue, parlait très bien français.
Le camp de prisonniers
Ainsi on m’a envoyé malgré que j'étais partisan français dans le camp de prisonniers de guerre allemands à Auxerre sur Yonne. 150 kilomètres au sud de Paris, où on me voulait fusiller, mais on ne l’a pas fait, où on a maltraité mon corps gravement, où on m’a chassé par des coups de bâton par le grillage de fils de fer qui entourait le camp en criant: «Nazi ! Nazi !» jusque mon uniforme de partisans était déchiqueté et ma peau aussi. Et les gardiens m’ont volées mes souliers de cuire et les bas et maintenant j’avais les pieds nus.
Plein de sang je suis arrivé dans l’intérieur du camp des prisonniers, où on m’a donné une uniforme allemande. En
plus on m’a donnés des souliers en bois. Dans les mois novembre, décembre et janvier je faisais une travail très dure dans l’usine de l’eau d’Auxerre détruite par des bombes, moi en restant debout jusqu’au ventre dans l’eau
froide et en travaillant. Un jour: mes pieds étaient gelés. Et je devais faire un sal travail, je devais vider les lavabos pleins de merde dans une vielle caserne amériquaine avec mes mains nues. Derrièrre de moi était placé un gardien
avec une mitraillette prête à tirer, qui me menaçait toujours, si je me refuserais de faire cet travaille.
Tous les jours des prisonniers étaient fusillés; même un homme du Service de Travail [Arbeitsdienst] a été fusillé
parce qu’on l’avait pris pour un homme de l'SS. J’ai essayé de parler pour lui mais on ne m’a pas entendu, moi le Sal-Bosch, «le cochon sal allemand».
Mais un soir quand j’étais revenu d’une fusillade tout le monde était très étonné que j’avais survecu.
Et quand à Noël venaient des officiers français
pour faire de la publicité pour la Legion Étrangère, je me suis présenté et on m’a inscrit dans les listes des volontaires.
On nous donnait à Noêl du gâteau pour des chiens et les gardiens étaient fachés que nous le ne voulions pas le manger, même pas le gâteau allemand !? «den Hundekuchen».
À partir de maintenant on me regardait chez les allemands comme un traître de pays paternel. Ou je serais mort en draguant des mines, ou je serais été mort de faim, ou je deviendrais lynché. Aussi cela devait se produire tous les jours ou plutôt pendant les nuits.
La Légion Étrangère
Après avoir reçu le renseignement de l’exécution de mon frère Adalbert 1944 et étant moi-même cherché par la Feldgendarmerie (police allemande) chez Orléans, il était compréhensible que je suis allé chez les partisants français à côté de Saint-Amant-en-Puisaye.
Parce qu’on m’avait envoyé en décembre 1944 dans le camp de prisonniers d’Auxerre, je suis allé de là en janvier 1945
directement à Marseille où je suis entré le 27–2–45 dans la Légion Étrangère, après je m’avais engagé, comme il est usage, pour cinq ans.
Curieusement on me connait là très bien, on savait de ma fuite de l’armée allemande, de l’exécution de mon oncle ou frère par les allemands, de mon combat comme partisan français etc.
En avril 1946 je suis voyagé avec un bâteau hollandais transportant des troupes françaises avec d’autres légionaires étrangères de Marseille à Saigon par la fleuve saigonnaise au Cochinchine, qui est nommé aujourd'hui Vietnam du sud.
Une fois je me suis pensé ma jambe blessé moi-même, aprés je m’avais tirés quelques pièces de fer de ma viande.
Mes blessures n’étaient pas reconnues comme blessures, parce que les avait pensées moi-mêmes. C’était passé dans l’année 1947 pendant un combat dans les rizicultures dans les marais au nord de Cochinchine et de Saigon. C’était un combat contre des pirates et sûrtout contre des Japonais qui après leur captivité nous ne vouliont pas croire que le
Japon avait déjà terminé la guerre.
Comme remplaçant d’officiers j’avais alors à conduire souvent une groupe de poussée de trentes hommes dans le combat et quelques fois même une compagnie; c’était dans l’année 1947 pendant les combats au Mékong au Cambodge.
Une fois je conduisais une groupe de poussée de 30 homme comme remplaçant d’officiers. Nous pénétrions dans un temple qui était le quartier général des pirates de fleuve. Autour du temple se trouvaient des pirates, ainsi ma compagnie ne pouvait pas venir après de nous. C’est pourquoi j’ai donné le commandement par radio de ma position à ma compagnie
attendante au bord de fleuve à 10 kilomètres distance de nous. Et l’artillerie a tirée du bord du fleuve sur nous. Le temple n’était pas touché, mais toute la règion autour.
Aucun de mes gens de la groupe de la poussée a été touché, mais tous les pirates de fleuve autour. Ainsi j’ai aussi tué indirectement. Non, je n’étais pas un héros. Et ne jamais j’ai reçu une médaille. Et alors j’étais même comme remplaçant d’officiers seulement un légionaire simple.
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Ma fiancée officielle d’alors était la nièce du dernier empéreur d'Indochine Bao Dai. Princesse Thibah Nyeuen disparaissait en juillet 1947, après que nous avions eu une dispute, et elle était courue en dehors de ma chambre à Mytho (une ville dans la proximité de la frontière du
Thailande).
Je me souviens que mes camarades et moi avaient cherché ma fiancée pendant trois jours dans la forêt vierge et avaient trouvé son corps tellement déchiqueté que mes camarades ne me voulaient pas laisser à son corps.
J’ai informé sa famille de la morte de la princesse. Et la famille a laissait faire coudre le cadavre ensemble et la
princesse a été portée par ses parents dans un cortège funèbre avec une musique nuptiale vers la place d’incinération, où le corps de ma princesse a été brûlé
devant moi.
Et seulement après j’avais mon événement de morte du 5 au 6–7–1947, où j’ai avais visité après l’arrêt de mon coeur et de mon souffle l’au-delà, et que je me suis réveillé le 6–7 à 5 heures du matin dans le funérarium de l’hôpital.
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Le 5–7–1947 dans l’hôpital de Mytho en Combodge ma morte clinique a été constatée à cause d’un arrêt définitiv du
coeur et du souffle à 20 heures du soir chez un accès de palludisme Malaria tropica avait été constaté par les 5 médecins de l’hôpital. Et au matin je me suis réveillè à 5 heures dans le funérarium de l’hôpital. Depuis cela je sais,
comme il est dans l’au-dela du créateur et de dieu Saturnus. Les habitants là n’étaient rien que des pensées.
Du funérarium je suis allé dans ma chambre de malade, et j’ai mis mon uniforme et je suis allé dans ma caserne au service.
À Noèl 1947 je voyageait comme rapatrié sanitaire avec le bâteau Pasteur à Marseille et de la à Oran et avec le train à Sidi-Bel-Abbes à l’école des Caporaux- et des Sous-Officiers.
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Ma «Kasbah» «château fort» était une
chienne bergère allemande. Un foto: À côté de Kasbah je suis placé dans mon uniforme de sergent devant un château tunisien.
Kasbah n’appartenait pas proprement dit à moi; car elle s’avait jointe à moi, car elle n’appartenait pas à quelqu’un. Ainsi je l’avais brossée et lavée et soignée. Et elle dormait sur une table dans mon antichambre devant mon chambre de sous-officier. Et Kasbah m’a gardée, quand on m’a aggressé pendant une nuit. Le matin se trouvait dans l’antichambre un morceau d’étoffe plein de sang, peut-être d’un caleçon ?
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Parce que je ne devrais plus jamais voyager dans ma vie après le commandement des médecins comme malade de Malaia tropica dans des pays tropiques, pour ne pas mourir toute de suite, je me suis réfusé après 1950 d’aller encore une fois en Indochine.
À vrai dire j’avais terminé le cours des
sous-officiers avec le 1 et même comme le meilleur j’avais le droit d’aller toute de suite à l’école des officiers de St. Cyr. Mais parce qu’on me voulait d’abord envoyer encore une fois en Indochine et que ce serait été ma morte, j’ai
quitté le 27–2–1950 la Légion Ètrangère comme sergent et je suis retourné à l'Allemagne, à Tübingen.
Deutsche Demokratische Republik
République allemande démocratique =
DDR
Selon l’invitation de la DDR que je pourrais faire sans dépenses mon baccalauréat et faire mes études, je suis allé chez ma famille, qui habitait à côté de Berlin. Ainsi je suis allé habiter de Tübingen à Finkenkrug-Falkensee chez mes grands-parents et je suis voyagé tous les jours à Berlin à la BOB, à un lycée berlinois pour des hommes exerçants un métier.
À ce lycée je me suis préparé maintenant à mon baccalauréat que je faisais en avril 1951 avec une 2. Toute de suite après je commençais mes études qui étaient conformes aux désirs du gouvernement de la DDR, ainsi les études de la médecine dentiste et de la psychologie. Mais comme on nous avait dit après 1953 qu’on aurait bientôt la guerre contre l`Ouest on m’a formé aussi comme médecin généraliste. Naturellement je pouvais encore épargner assez de temps pour étudier d’art.
Parce que ces voyages quotidiens de et á mes
grands-parents me devenaient trop difficiles je suis aller habiter à Berlin dans une BUDE (chambre d’étudiante) et comme j’avais besoin dans d’autres BUDEN (chambres); comme on a nommées les chambres pour des
étudiants chez leures patronnes.
Le 17 Juin 1953 j’ai participié à la démonstration à Berlin; mais cela n’a pas été enrégistrée par le gouvernement de l’Est. Mais mon père qui avait dirigée le ministère de la Science de la DDR, s’était s’enfuit ce jour-là de Berlin de l`Est à Berlin de l’Ouest; c’est pourquoi on m’a rayé ma bourse.
Seulement deux années je pouvais vivre pendant la guerre chez mon père à Berlin, Dr. jur. (docteur juriste)
Alfons de Maikowski, qui a caché des centaines de juifs sur le grenier de sa maison, pour les emmener à l’occasion à Hollande ou je ne sais pas où. Silence ! Silence ! Car nous enfants étaient demandés même à l’école par les Nazi, si nous auraient vus quelque chose de suspecte comme par exemple des Juifs chez nous à la maison ou observés cachés à un autre endroit. Aussi ce médecin Dr. med. Pollack, qui avait demandé à mon père 1961 en ma présence: «Wann willst Du dem Hans endlich sagen, dass Du sein Vater bist ? (Quand est-ce que tu veux enfin dire à Hans que tu sois son père ?)» Pollack était
Juif et à remercié sa vie à mon père. Ainsi j’ai appri à connaître le nom de ma mère et le nom de mon père 1961 en mois de janvier, quand j’étais à Berlin pour une candidature d'une usine pharmaceutique et j’avais visité le cabinet d’advocate de mon père sur le Kurfürstendamm.
Que mon prénom n’était pas «Hans», mais «Johannes», cela je devais connaître seulement par la Police de la DDR en 1950.
La démonstration du 17 juin 1953 se faisait complêtement paisible. Un travailleur de l’usine d’acier de Henningsdorf
portait un image géant de Ernst Thälmann. Nous marchaient sur la «Place Marx-Engels» à cette place où s’était trouvé le Palais de Ville des Empéreurs. Quelques centaines d’étudiants et de travailleurs. Vers 12 heures à midi nous
avons entendus des blindés sowjetiques roulants et nous avons vus que les premiers manifestants si paisibles étaient écrasés. Ne personne a chanté; car c’était une Marche Silencieuse. Et là je me suis enfuis de la rangée première.
Dans une rue à côté se trouvait ma bicyclette attachée et je pédalais de loin. Et de plus je ne sais rien.
Des arrestations il n’y a pas eu comme je le croit. La Police de Peuple n’étais pas là. Et aux Russes on avait raconté que nous démonstrants seraient tous des agents de l’Ouest.
Je n’ais plus démonstré depuis cela; car les études de la médecine dentiste et de la médecine générale m’ont occupés complêtement. Aux fins de semaine j’étais toujours occupé dans les hôpiteaux, pour apprendre plus que dans les cours.
Je devais alors travailler à côté de mes études. Ainsi j’ai fait des traductions dans la langue française pour mon père,
l’advocat Dr. jur. A. Maikowski et ses collègues; car les lettres juristiques avec le Proche-Orient devaient écrites en français. Deux études en même temps, celui de la médecine dentiste de 1951 à 1958 à l’université de Humboldt
à Berlin et celui de la médecine génerale (Human-médecine?) et encore à côté traduire, pour gagner la subsistance de vie – malgré je n’étais pas revenu sain et sauf de la Légion Étrangère. En plus la DDR voulait de moi le dimanche des puissances sportives comme des voyages en l’eau sauvage avec des canots pliants et des traveaux chez des paysans pour la récolte dans les environs de Berlin.
1957 je me suis préparé à l’examen d’état et le travail de la thèse de doctorat. En juillet 1958 j’avais terminé cela – avec la note 1 (la plus meilleure) et j’ai été devenu Dr. med. dent «docteur de la médecine dentiste».
C’était alors mon deuxième examen d’état parce que j’ai été obligé 1953 à faire mon examen d’état en Politologie. Chez cela on m’avait posée la question:
«Qu’est qu’il y comme différence entre des
Prolèts et des Prolétariens?»
et voila ma réponse:
«Des Prolèts sont des Prolétariens qui se
comportent mal.»
Mais j’ai été corrigé par des professeurs: «C’est faux! ‘Prolèts‘ c’est une injure des capitalistes contre les travailleurs ou prolétariens.»
Malgré cela on m’a donné une 1 et depuis je suis Politologue. Mais je n’ai jamais travaillé comme un tel. Et
j’avais assez à faire dans les années prochaines.
Tout de suite après mon examen d’état de la médecine dentiste j’ai concedé à la volonté de ma fiancée d’alors Irmtraud J** (Soeur Flita de la Fraternitas Saturni depuis 1956) de me marier le 21–6–1958 avec elle.
Et 3 jours après nous étions en route avec des malles pour retourner chez moi à la maison à Tübingen parce que j’étais venu seulement pour des études dans la DDR. Ma femme d’alors et moi habitaient alors dans un faubourg de Berlin et nous nous avons mariés tous seuls dans le bureau de l’état civil de Berlin-Lichtenberg et nous avons pris la fuite alors 3 jours après nôtre mariage, les témoins de mariage étaient des employés de l’état. Le repas de mariage nous avons pris dans l’hôtel Budapest à Berlin de l’Est. Là nous avons reçus une petite table, parce que le garçon nous avait reconnu à nos roses rouges (7) comme des hommes nuptiaux. Un hôtel de la HO, ça veut dire «Organisation de Commerce» («Handelsorganisation»), très cher !
Rummelsburg
Parce que j’avais dit que je voulais retourner dans l’Allemagme de l’Ouest, la Police de la DDR Stasi «Sûreté de
l’état» nous avait déja attendus à cause d’un traître parenté à la limite de Berlin de l’Ouest et nous a faits prisonniers, parce qu’on savait que nous voulions fuir. Et sur la fuite essayée était prévue par la justice de la DDR
une année de prison.
Pour nous venait l’arrestation complêtement inattendue;
car nous voulions prendre un avion encore le même jour vers l’Allemagne de l’Ouest.
Nous étions à plusieures places de la Police
Stasi. C’était d’abord un prison d’enquête sur la place d’Alexandre comme je crois; car nous étions assis dans une «Grüne Minna», une voiture fermée de police d’où on pouvait rien voir du dehors.
Ôter les habits!? Oui, pour une auscultation
corporelle. Ce qu’on à fait avec ma femme, je ne le sais pas; car elle est venue tout-suite dans la section des femmes. On m’avait interrogé et d’abord je me pouvais excuser avec une voyage de noces [«Hochzeitsreise»] pour la quelles j’aurais reçu seulement 4 mois de prison. Mais après est venu un médecin traître parenté qui disait sa vérité à la Stasi et je ne pouvait plus mentir et j’ai affirmé mon intention de la fuite car j’étais été avant mes études alors
un Allemand de l’Ouest. Pourquoi je ne devrais pas retourner après mes études là-bas d’où j’avais veçu auparavant? De cette trahîsion m’a racontée mon advocate Madame Schimpf.
Des auscultations jours et nuits dans une
lumière resplendissante des policiers saxons instruits mais malheureusement se tenants comme des idiots; car à Berlin avait la DDR principalement des policiers saxons qui n’aimaient pas nous commes prussiens.
Il y avait deux procès. Car après le premier procès de seulement de 9 mois le trahîsseur avait réclamé un procés nouveau, parce qu’il voulait pour moi atteindre trois ans de prison. Dans le 2. procès j’avais reçu alors la punition la plus haute pour la fuite essayée de la DDR de 12 mois. Chez la justice on m’a réproché avant tout mon temps ans la Légion Ètrangère ... parce qu’aurais opprimées des peuples pour la France.
J’étais depuis le commencement dans le prison 9 fois occupé de trop de Berlin-Rummelsburg jusqu’au fin de mon
emprisonnement 1959.
Habillement: les mois premiers encore dans
mon habit de nôces, parce que je m’avais marié trois jours auparavant. C’était été mon seul habit comme étudiant, un habit sombre. Aprés cela des vêtements rayurés de prisonniers avec des numéros sur le dos. Les numéros étaient si souvent changés que je n’ai pas remarqué un numéro. Pas de journal, pas de musique dans la cellule. Seulement des annonces beuglées par des haut-parleurs, comme «HOF !» [«COUR ! »] ça veut dire: aller sur la cour
sévèrement gardé. Et en haut sur les murs les mitrailleuses des gardiens.
Malheusement, je ne pouvais pas avoir une détention pour moi tout seule que j’avais souhaitée comme pour moi si
importante; car là j’aurais pu faire de l’entrainement autogène [Autogenes Training] et méditer. Mais on m’a emmené dans une cellule à un – qui était déja occupée par 8 criminels les plus lourdes. Cellule à un avec trois lits les uns sur les autres. Alors neuf en tout. Avec une toilette et un lavabo et une fenêtre très petite, laquelle devait être fermée très souvent parce que mes camarades de ma cellule s’avaient battus encore une fois ou avaient faits de beaucoup de bruit ou avaient geulés par la fenêtre; « Hier kommen wir nie wieder raus!» («D’ici nous ne sortons jamais plus !»)
En plus je devait dans mon habit bon sur la cour faire de la gymnastique pour les autres, et les prisonniers ont dit de moi. «Der Pfaffe kann aber gut turnen!» «Le curé peut alors très bien faire de la gymnastique!» Oui, au début j’étais le seul prisonnier qui portait cet habit sombre. Commes les autres prisonniers je devenais très faible, sans des fruits et sans des légumes pendant un an et avec les aspects premiers d’une paralyse. Ma paralyse a commencée dans la prison et était une polyarthritique
chronique première qu’on n’a pas traîtée médicalement. Malaria avec fièvre je n’avais plus en prison, mais seulement, comme encore aujourd'hui (2013) tous les 3 mois des douleurs de la rate quand les spores de la Malaria s’augment.
Par respect pour mes camarades de ma cellule je les enseignaies tous dans l’Entraînement Autogène» «Autogenes Training» et je montrais à tous l’hypnose avec la raideur cathaleptique à laquelle ils n’ont pas crus mais plustard ils ont racontés que je les aurais hypnotisés.
Oui, de peur pour ma santé je l’avais toujours, et assez de peur devant des indicateurs dans ma cellule. Oui. Des
actes de violence il n’y avait pas. Autrement j’avais raconté à tous que j’étais instruit au combat proche dans la Légion Étrangère. Pas un de ces brigands n’a jamais osé de me toucher.
Travail comme prisonnier de punition: Comme
Dr.med.dent on m’a engagé pour nettoyer la terre avec un chiffon dans la chambre sainitaire «pour que le docteur devrait apprendre une fois à travailler», disait à moi le sous-officier médical de Saxe.
On n’a jamais fêtée quelque chose en prison, mêmes pas les fêtes chrétiennes.
Des lettres: étaient permises seulement une fois par mois pour être écrites seulement à l’épouse. Des poèmes étaient défendues sévèrement. Des lettres étaient controllées précisement. Je ne devrais pas obtenir plus d’une lettre par mois de mon épouse. Auqune lettre on
ne devait pas la prendre avec soi chez la libération.
Une visite tous les trois mois permis seulement par l’épouse et cela par le grillage avec un employé à chaque côté du grillage. Chez des mots sonnants douteaux la visite était tout suite interrompue par l’homme de la Stasi. Tous les mots de ma femme et moi étaient notés.
1958 Flita avait reçu du tribunal seulement 5 mois de punition prisonnière. Quand Flita était libérée elle
allait chez Eugen Grosche/Gregor A. Gregorius pour qu’il lui procurerait un travail comme infirmière ou comme orthoptistique.
Mais il l'a conduit au travail dans l’Eldorado, un hôtel pour homosexuels avec restaurant et danse à Berlin-Ouest
où Gregorius avait conduits tous ses visiteurs étrangers, par exemple le Maître (de la Fraternitas Saturni) du Canada.
Renvoi
Après cette année je quittais le prison Rummelsburg presque complêtement paralysé avec une maladie grave de reins.
J’ai été renvoyé sans argent que j’avais possedée. Mais à moins l’anneau de mariage on m’a rendu comme aussi mon habit de marriage. Mais, on m’a volé tous mes livres médicales que sont restées dans le prison. Rien d’autre j’avais le droit de emmener avec moi.
Ne personne était venu me chercher au prison. Flita j’ai rencontré alors seulement à Berlin-Ouest. Ainsi je devais tout seul aller clopin-clopant à Berlin-Ouest sur la limite de la zone. Et comme ça je pouvais encore une fois fuire de Berlin-Est à Berlin-Ouest, cette
fois sans des malles étonnantes.
La confédération des juristes libres m’a emmené tout suite á Berlin-Tempelhof.
La confédération des juristes libres savait alors de moi. D’où ? Cela je ne sais pas. On a toujours eu assez de mouchards sur tous les deux côtés de Berlin-Est.
Flita et moi nous nous sommes rencontrés à l’aérodrome Tempelhof. De là nous avions pris un avion des Américains à Frankfurt en Allemagne de l’Ouest.
À Frankfurt le fauteuil roulant était déjà là pour moi.
De là j’ai pris le train. On m’avait envoyé dans un camp spécial pour des réfugiés politiques, l’hôtel Herrenwald, au
environs de Karlsruhe. Dans l’hôpital de la Ville Karlsruhe j’ai appris par le traîtement médical alors à marcher avec deux bâtons. Les trois mois dernièrs de l’année 1959 j’ai passé à Gammertingen Oberpfalz dans une maison de soin
médical où j’ai appris à marcher seulement avec un bâton et au fin même sans bâton.
Les frais pour ces 3 mois étaient payés par l’état de la BRD (République fédérale d'Allemagne) comme fugitif politique reconnu.
Malheureusement j’étais toujours tout seule sauf Noël quand Flita me visitait venant de Hanau où elle a fait encore une fois son Baccalauréat parce qu’elle croyait que son Baccalauréat de l’Est qu'elle avait faite à Berlin de l’Est ne serait pas reconnue au Ouest et ne suffirait
pas pour faire des études. Mais un diplôme d’un baccalauréat elle ne m’a jamais montré. Moi je lui avait croyée cela simplement. Et à Noël 1959 venaient aussi encore les parents de Flita à une visite et ils ont habités dans la même
chambre que ma femme et moi. Joyeux Noël!
En plus j’aurait eu besoin de Flita si pressant comme compagne de malades car j’étais en route dans la neige tous les jours tout seul avec mes deux bâtons pour apprendre encore une fois à marcher. La maison de soins médicales brillait par sa mode d’alimentation car j’ai été venu très amaigri du KNAST ça veut dire du prison. De Noël j’ai
fait en noir et blanc des photos avec mon appareil de photo «Praktika», des photos qui montrent Flita et moi avec nos manteaux dans la neige.
Du fôret je m’avais cherchée pendant mes promenades
la pointe d’un sapin abbatu, la quelle des travailleurs de fôret m’avaient faits cadeau. Ainsi je pouvais mettre debout un arbre de Noël.
Le jugement du tribunal de la zone de l’Est était cassé tout de suite après ma fuite 1959 du tribunal dans le Ouest, alors à Karlsruhe. Ainsi je n’ai pas ici une condamnation antérieure.
(Maikowski reçoit pour le temps de sa détention depuis 2008 une petite retraite comme une victime reconnue du
Stalinisme.)
1960 j’ai reçu un logement pour fugitifs à Horb sur le Neckar par un frère de la Fraternitas Saturni. Parce que j’avais veçu de l’aumône publique je n’avait pas assez d’argent pour ouvrir un cabinet de médecin dentiste. En plus j’ai été choqué gravement dans le prison dans mon psychisme
que je me sentais oppressé en des espaces fermées.
Après un traîtement médical de plusieurs mois en l’Hôpital de la Ville de Karlsruhe 1961 j’ai seulement appris à marcher.
Quand j’avais appris cela, je suis allé comme «Wissenschaftlicher Mitarbeiter» «Collaborateur scientifique» dans le service d’extérieur d’une usine pharmazeutique où je suis resté jusqu’au juillet 1975 chez Sandoz. Là, je devais finir le service extérieur en juillet à cause d’une maladie de coeur.
Et vous pouvez me croire que j’ai compris ce
métier comme un scientifique que je n’avais pas presque de temps libre, en dehors pour ma femme d’alors dans les soirées et les fins de semaine, si je n’ai pas passé la nuit en des hôtels nobles et chères. Dans la soirée je devais
écrire les journeaux du jour et les envoyer tous les soirs à Sandoz. Dans les salles d’attente des médecins des cabinets médicaux et des médecins en chef des hôpiteaux je lisais des livres médicales, pour me faire avancer.
Ainsi je suis allé en janvier 1961 dans l’industrie pharmaceutique dans le service extérieur. Et mon premier
établissement m’a payé le déménagement de Horb à Stadt Allendorf, où j’ai veçu 5 ans dans une maison louée au bord du forêt.
Grand-Maître
Le 17–4–1965 j’ai accepté la position du Grand-Maître de la Fraternitas Saturni quand j’étais démenagé de Stadt
Allendorf à cause de Sandoz et de ma région des nouveaux
travaux à Hallgarten chez Bad Kreuznach – et j’avais passé très bien le temps de l’instruction chez Sandoz Nürnberg et j’avais trouvé chez cet établissement un engagement.
L’acceptation de ma choix avait lieu sur une place devant l’établissement Sandoz à Nürnberg en avril 1965. Au dessus de cette place on pouvait voire le triangle-Sandoz ressemblant au triangle de la F.S.
J’ai trouvée 1970 une maison dans la Winzenheimer Höhe, une partie de la ville de Bad Kreuznach. 1975 je
devais finir mon travail chez Sandoz à cause des raisons de ma santé, de ma maladie de coeur, et j’ai démanagé 1976 à Kaiserslautern parce que ma femme d’alors voulait absolument y habiter.
Mon divorce de Irmtraud Maikowski se passait 1976 à Kaiserslautern.
Mon mariage avec Waltraud Maikowski avait lieu le 25–1–1980 à Kaiserslautern.
Artiste
En France, en Afrique et en Indochine je n’avais pas assez d’argent pour m’acheter des couleurs. Ainsi j’ai seulement
dessiné et mes dessins presque tous donnés en cadeau avec l’exception d’un seul qui se pourrait trouver dans mes affaires «une tombe sous des palmiers».
Quand j’étais revenu 1950 dans la BRD, mon art était si peu demandé que je suis allé dans la DDR et j’ai fait mon
baccalauréat et mes études de la médecine dentiste. Et tout de suite après l’examen d’état en juillet 1958 j’étais une année dans le prison-DDR parce que j’avais dit que je voudrais retourner dans l’Ouest. Et à Rummelsburg je n’avais
pas ni de papier ni un crayon pour dessiner. Après ma libération le 21–7–1959 j’étais presque paralysé et je ne pouvais même pas penser à pouvoir marcher. D’abord le fauteuil roulant, après deux bâtons, après un seul et au fin j’ai appris encore und fois à marcher sans bâton jusqu’à aujourd'hui. Beaucoup plus mauvaise était le dommage psychique; que je ne pouvais pas tenir ou conduire au
commencement un pinceau. Seulement à partir de 1965 j’avais surmontées les difficultées les plus difficiles, et je pouvais peindre encore une fois.
J’ai encore en 2013 mon cabinet et mon atelier dans ma maison. Depuis 1977 j’ai donné des leçons en «entrainement autogène» (Autogenes Training) pour l’Université Populaire de Kaiserslautern chez moi dans mon cabinet à la maison. Je ne vend plus mes images et aussi je ne les expose pas. Mais les parois ici dans ma maison sont «tapissées» avec mes peintures à l’huile.
En plus je possède aussi un mannequin grand comme une femme qui est assis vêtu complêtement dans mon atélier de peintre et que j’use à cause des vêtements tombantes comme un mannequin de peinture. Il est formé exactement après la déesse grecque et a aussi des mains et des pieds mobiles et un visage admirablement beau. D’ailleurs ma femme Waltraud trouve cela aussi. Pour cela le mannequin Aphrodite ou Saturnia nous a accompagné sur chaque voyage jusqu’à la Provence et à d’autres lieux; car si je fais mes peintures en toute tranquillité avec le mannequin dans le paysage, ma femme est contente qu’elle n’est pas un mannequin. Car ma femme ne peut pas comme le mannequin rester être assise deux ou trois heures sans bouger pendant que je dessine ou fais ma peinture en huile. Dans tous mes images à l’huile on voit
une femme qui représente ma femme avec sa chevelure sombre et ses lunettes, mais avait comme fondement alors le mannequin Saturnia.
Pour mes collages je colle maintenant des têtes avec une colle à papier sur les corps. Jusqu’à maintenant je pouvais
faire avec la technique torchante avec mon vieu PC–98 des collages d’un aspect très authentique qui ont un aspect de photos vrais. À côté de cela je travaille aussi avec des craies de couleurs de cire et avec un instrument rassemblant à celui d’un médecin dentiste avec un moteur à gommer. Et les mains calmes j’ai heureusement toujours encore.
Des philosophies religieuses et d’autres choses difficiles et des bagatelles je peux comme artiste alors laisser en paix aux philosophes et aux curés et aux écrivains de romans ?
© Johannes Maikowski, 2010 (allemand) / 2013
(français, raconté et traduit par Maikowski lui-même)
Deutsche Version: Eine Autobiographie.
Online mit, von und über Johannes Maikowski:
Instruktion für Autogenes Training — Ein Yoga-System für den Westen — Indigo (25:11, 6,76 MB).
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Kontext:
- Fraternitas Saturni.
- History.
- Beispiel einer Skandalisierung.
- Erweiterungen zur Geschichte der Fraternitas Saturni. Fotos und Texte von und zu: Eugen Grosche, Der Berg Ipf, Der Putsch 1962, Wolf Rösler, E.P.H. Barth (?)/Amenophis, Karl Wedler, Margarete Berndt, Karl Spiesberger, Walter Englert, Guido Wolther, Walter Jantschik, Horst Kropp, Johannes Maikowski, Dieter Heikaus.
- Secrets.
Bücher zum Kontext:
Reaktion.
Video–Interwiew.
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